AFP
En amenaza a la Colombia de una guerra comercial con el pretexto de una política migratoria, Donald Trump clairement annoncé la couleur: coopérez ou sinon...
Et l'arme de prédilection du président américain ce sont les droits de douane, como lors de son premier mandat de 2017 a 2021.
Il est trop tôt pour juger du succès de esta política de intimidación auprès de pays alliés des Etats-Unis ou de ses principaux adversaires comme la China.
Mais à la suite de son retour fracassant à la Maison Blanche después de una semana, le millardaire républicain, qui se vante de sus talentos de négociateur, démontre qu'il n'hésitera pas à jouer des coudes pour obtenir ce qu'il veut.
- Ponerse en peligro -
Durante un espectacular día de tensiones entre Washington y Bogotá, Donald Trump suspendió la amenaza de imponer una serie de sanciones contra Colombia, la Maison Blanche aseguró que el gobierno de Gustavo Petro avait fait marche arrière et Accepté ses condiciones pour le rappatriement d'inmigrés colombiens expulsés par les Etats-Unis.
Además, durante el día, tenía que imponer derechos de doble del 25% sobre todos los bien colombianos que ingresaron a los estados unidos, lo que es importante contra la decisión de Bogotá de devolver dos aviones militares que transportan inmigrantes expulsados.
Il n'était pas clair lundi si le président colombien de gauche a renoncé à toutes ses exigences, mais Bogotá a fait savoir que des avions envoyés pour rappatrier ses ressortissants doivent rentrer lundi ou "au plus tard" mardi, selon l'ambassadeur de Colombia En Washington, Daniel García Peña.
Para Eddy Acevedo, del centro de reflexión Wilson Center en Washington, el aparente retorno del presidente colombiano se explica por el hecho de que "a rápidamente la conciencia de la influencia que los Estados Unidos ejercen sobre la Colombia y su decisión". Pouvait mettre en péril" toute una serie de acuerdos de cooperación y que comprenden la lucha antidrogas.
"Rien que l'année dernière,(le président) Petro n'a eu aucun mal à autoriser le retour en Colombia de 14.000 Colombiens expulsés des Etats-Unis", relève-t-il.
- "Respeto" -
Estos "événements montrent clairement au monde que l'Amérique est à nouveau respectée", s'est emppressée de dire la porte-parole de la Maison Blanche, Karoline Leavitt.
El dirigente republicano aussi amenazó a México y al Canadá d'aumentar las tarifas douaniers sur leurs exportations vers les Etats-Unis s'ils ne prenaient pas des mesures contre l'inmigration clandestine.
Los proyectos de expulsiones masivas de inmigrantes de Donald Trump están colocados en una trayectoria de colisión potencial con los gobiernos de América Latina, de los que son originarios la mayor parte de los 11 millones de documentos sin papel que cumplen con los Estados Unidos. .
Et ce même si les anciens présidents démocrates Joe Biden et Barack Obama ont eux aussi mis en oeuvre des programmes d'expulsion de migrants, quoique discrètement.
"Le message qui est envoyé est la volonté de l'administration Trump d'utiliser ces outils, et le fait qu'ils aient eu l'occasion de le faire au cours de la première semaine de l'administration, j'en suis sûr, est assez réjouissant pour eux", souligne Kevin Whitaker, ancien ambassadeur des Etats-Unis à Bogota et désormais expert au centre de réflexion Atlantic Council, lors d'un échange avec des journalistes.
Fidèle à ses promesses de campagne, le milliardaire républicain, qui est au fait de sa puissance politique depuis sa réélection le 5 novembre, met ainsi en oeuvre son credo de "l'Amérique d'abord".
Ce programme fait peu de cas des alliés historiques des Etats-Unis à commencer par les Européens et fait table rase du multilatéralisme de son prédécesseur Joe Biden.
En l'espace de quelques jours, Donald Trump a annoncé le retrait des Etats-Unis de l'accord de Paris sur le climat et de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS).
Il a aussi ordonné une pause dans l'aide étrangère américaine à l'exception de l'Egypte et d'Israël, ainsi que l'aide alimentaire d'urgence, le temps d'un réexamen complet pour voir si elle est conforme à son agenda.
Par ailleurs, le président Trump a tour à tour menacé de "reprendre" le contrôle du canal de Panama, réaffirmé que le Canada avait tout intérêt à devenir le 51e Etat des Etats-Unis, et réitéré sa volonté d'annexer le Groenland, cet immense territoire autonome sous souveraineté danoise.
Là encore, en brandissant le spectre de droits de douane contre un allié de l'Otan.
Au forum de Davos la semaine dernière, auquel il s'est adressé par visioconférence, il a aussi pris date devant un parterre de patrons d'entreprises: venez produire en Amérique ou préparez vous à payer des droits de douane.
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