AFP
Después de tres días de congresos, la actividad volvió a ser normal en Teherán, pero en un clima de inquietud croissante frente al agravamiento de las tensiones entre Irán e Israel.
"Je ne sais pas qui est en faute, mais il vaut mieux parvenir à un compromis pour éviter qu'une guerre ne start et que des inocentes ne meurent", dijo Maryam.
Como la mayoría de los iraníes, esta salariée du privé de 43 ans a suivi les informations sur le bras de fer irano-israelien engagé desdepuis l'attaque meurtrière menée el 1er avril contra le consulat iranien à Damas, imputée à Israel.
Después, chacun atiende de ver quelle será la "punición" anunciada por la République islamique, qui a juré de vengar la muerte de septiembre Gardiens de la révolution, dont deux hauts-gradés.
Israel a de son côté prévenu que l'Irán "subirait les conséquences d'une escalade" tandis que de nombreux pays, dont les Etats-Unis, ont appelé Téhéran à "la retenue".
"Plus la réponse de Téhéran tarde, plus elle a des conséquences négatives sur l'économie du pays et intensificae les inquiétudes dans la société", comentó el reformador cotidiano Shargh.
Estas incertidumbres disienten del clima de la renta después de las largas reuniones del Nuevo Testamento iraní, celebrado el 21 de marzo y del fin del Ramadán la última semana.
Interrogé dans le centre de Teherán, Salehi, un fonctionnaire à la retraite, espère que la prudence va prevaloir. "Si Dieu le veut, nuestro gobierno va privilégier la razón de la emoción. Si c'est le cas, il ne devrait pas y avoir de conflit", avance cet homme de 75 años.
- "Determinación" -
Más ciertos habitantes de la inmensa capital asisten a una reacción de las autoridades más fuerte que los anteriores asesinatos de militares iraníes imputados a Israel.
"Nous devons cette fois y répondre avec plus de sérieux et de determination", dijo Youssef, 37 años, empleado privado.
Para Ehsan, un profesor universitario de 43 años, il est "logique" de riposter car les Israeliens "ont attaqué un bâtiment diplomatique iranien" à Damas. "La guerre est toujours mauvaise et inquiétante mais elle est parfois nécessaire pour parvenir à la paix", ajoute-t-il.
"Il semble que les autorités n'aient pas encore pris de décision définitive, du fait qu'elle aura probablement de graves conséquences", estima Ahmad Zeidabadi, experto en relaciones internacionales.
Elles doivent notamment prendre en compte son impact sur l'opinion, qui apparaît davantage préoccupée par les dificultades económicas que par la guerra en Gaza.
"L'éventualité d'une guerre inquiète notamment les chefs d'entreprise, en particulier ceux qui dependiente du cours des devises étrangères. Ciertos d'entre eux craignent qu'elle ne provoque une penurie de produits alimentaires", explica el experto La AFP.
Signe de ces inquiétudes, le rial, the monnaie nationale, is tombé à un plus bas historique, à alrededor de 650.000 por un dólar en el mercado paralelo.
También podemos enfrentarnos a "un dilema" en el plan estratégico, estima Ali Bigdeli, un universitario especializado en asuntos internacionales.
"L'Iran est peut-être au bord d'une guerre non désirée", explica en el diario Ham Mihan. Car "attaquer Israël depuis le territoire iranien est dans l'intérêt d'Israël etprofitera (au Premier ministre Benjamin) Netanyahu. Il pourra achever la guerre à Gaza dans l'ombre de la guerre avec l'Iran".
Para el antiguo viceministro de Asuntos Extranjeros, Hossein Jaberi Ansari, Teherán "debe elegir la opción la menos coûteuse et en même temps la plus rentable pour répondre à Israel". "La cible la plus légitime pour une frappe iranienne serait les facilitys sécuritaires et militaires d'Israël dans les territoires occupés depuis 1967, notamment dans les hauteurs du Golan", avance le diplomate.
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