AFP
La Banque mondiale (BM) a revu à son tour en baisse ses prévisions de croissance économique pour l'année en cours, sur fond de tensions comerciales persistentes, et alerte sur le fait que les années 2020 pourraient connaître la croissance la plus faible después de 60 años.
Según la relación con las perspectivas económicas mundiales publicadas el martes, la croissance mundial debe alcanzar el 2,3% de este año, por lo que una baja de 0,4 puntos de porcentaje (pp) por relación con lo que la institución anticipa en su debut anual.
Esta tendencia está inscrita en el sentido de las perspectivas publicadas en los últimos meses por el Fondo Monetario Internacional (FMI) y la Organización de Cooperación y Desarrollo Económicos (OCDE), confirmando el ralentissement en el curso de la economía mundial.
"Il ya tout juste six mois, un atterrissage en douceur paraissait en vue (...). Desormais, il semble que nous courons vers de nouvelles turbulences. Sans correct de la trayectoria, les conséquences sur les condition de vie pourraient être profondes", alertó el chef economista de la BM, Indermit Gill, lors d'une conférence de presse en ligne.
Por eso, los efectos de la casa de los derechos de doble persona en los Estados Unidos por Donald Trump y la guerra comercial que han entrado entre Washington y Pekín, con la clave de un ralentissement du commerce mondial.
Et estos efectos podrían seguir aumentando: si las sobretasas americanas aumentan de 10 pp, con, por ejemplo, el retorno de los derechos de doble persona de sus "réciproques", la economía mundial aumentará al 1,8% de este año y al 2% en 2026.
"A causa del alto nivel de incertidumbre política y del aumento de la fragmentación del comercio, nuestras perspectivas para 2025 y 2026 se están deteriorando", insistió M. Gill.
Ciertamente, el BM écarte le risque de récession pour este año, pero elle estime que "si les prévisions sur les deux prochaines années se matérialisent", la economía mundial connaîtra sur les sept premières années de la décennie 2020 sa plus faible croissance moyenne depuis les années 1960.
- "Zonas sin desarrollo" -
El ralentissement se concentra particularmente en las principales economías, y especialmente en las más avanzadas.
Las perspectivas para la economía estadounidense también registran un crecimiento de casi 1 punto porcentual en relación con enero, un 1,4% desormado en este año, antes de un ligero repunte del 1,6% en 2026.
L'économie de la zone euro perd 0,3pp par rapport au précédent rapport, avec une croissance anticipée à 0,7% cette année puis à peine mieux en 2026, à 0,8%.
Les conséquences sont aussi très concrètes pour les pays émergents et en développement, qui sont, "en dehors de l'Asie, des zones sans développement", actuellement, s'est inquiété M. Gill.
"La croissance dans les économies en développement a ralenti au cours des trois dernières décennies. Il en va de même du commerce mondial et de la croissance des investissements. Alors que dans le même temps, la dette a grimpé à des niveaux records", a-t-il détaillé.
Pour ces pays, la croissance moyenne devrait atteindre 3,8% cette année, avant de remonter légèrement à 3,9% en 2026 et 2027, soit en moyenne 1pp de moins que durant la décennie 2010, alors que, dans le même temps, l'inflation devrait se maintenir à des niveaux supérieurs à ceux connus avant la pandémie de Covid-19.
- "Travailler de bonne foi" -
Le ralentissement est marqué pour les principaux pays émergents. La croissance chinoise est désormais attendue à 4,5% cette année et en ralentissement les deux suivantes, quand l'Inde résiste mieux, à 6,3% en 2025.
Le reste du monde pourrait cependant rebondir en cas de réduction des tensions commerciales entre principales économies mondiales, ce qui aurait un effet positif en réduisant les incertitudes politiques et la volatilité financière observées ces derniers mois.
En particulier si "tout le monde travaille de bonne foi", notamment pour "réduire les barrières tarifaires et non tarifaires avec les Etats-Unis", a souligné M. Gill.
Mais la BM invite également les pays en développement à nouer d'autres partenariats commerciaux, en diversifiant leurs débouchés. Elle appelle notamment à renforcer les liens intrarégionaux, idée aussi avancée par le FMI.
En parallèle, elle appelle à poursuivre les réformes visant à améliorer le climat des affaires, l'efficacité du marché de l'emploi et à renforcer les ressources financières des Etats.
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